tu dis : « Quand je marchais dans la ville la nuit, je savais pas que c’était dans le silence que j’avançais.  »
tu dis : « C’était rassurant de suivre le fleuve, lui emprunter sa direction.  »
tu dis : « Quand tu marches à  deux dans la nuit, le moment où sans rien convenir on finit par se taire...  »
tu dis : « Leurs lignes noyées dans l’obscur, mais les façades toujours là  , hautes, dures, et tout ce qu’elles cachent derrière : et dans ta tête, pareil.  »
tu dis : « Sortir, ça veut pas dire grand chose : c’est souvent au dedans que ça mène.  »
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