bienvenue dans l’atelier
tu dis : « Quand je descends l’escalier dans la nuit, c’est par le rythme que j’évite la chute.  » tu dis : « La même chose quand j’écris.  »
lire la série dans son intégralité : 1 | 2 | 3
tu dis : « Cet empilement des morts au long d’une vie, comme une poussée...  » tu dis : « Tu sais vers quoi.  » tu dis : « Qui d’autre que les morts pour s’orienter ?  »
lire la série dans son intégralité : 1 | 2 | 3
tu dis : « J’ai rêvé d’une machine qui dresserait la liste des mots que je n’emploie jamais.  » tu dis : « Elle m’apprendrait quoi, cette liste ?  » tu dis : « J’écrirais quoi avec ?  » tu dis : « Avec ça, écrire des fictions qui t’embarquent dans le neuf !  » tu dis : « Des fictions où, à  les relire,[...]
monologue 5 mis à  jour
deux fauves
ne rien oublier du feuun à  un mà ¢cher tes mortsmoduler ton chant (puisqu՚un seul)ne plus surestimer la distance
ne jamais abdiquer l’innommabledépecer les mots quand nécessairen’hurler que pour mesurer le silenceconsigner les mots pour faire place nettene saboter que de l’intérieur (surface et manière suivront)non pas accéder à  l’innommé : à  petites touches répétées faire qu’il abcèdes’obstiner jusqu’au[...]
Bondaroy, Chemin Vert
faire du beau avec le rien de nos vies
Descartes, au dessus de la commune
0 | 10 | 20 | 30 | 40 | 50 | 60 | 70 | 80 | ... | 400