Derniers mots de la dernière page... Se lisent comment, dans l’en avant qui bute et tant de poussée ? Ferment la marche, vide vient s’offrir. Et je dis bien du vide, pas du silence. Que cette sensation du garde-fou tombé. La màªme chaque fois répétée, et la màªme crainte aussi. Tàªte au tourbillon, lenteur qui s’impose alors relire, les derniers mots, les dernières phrases. Là¢chée du sens c’est superposition d’images... Retourne au creux, retourne au coeur. A seulement feuilleter, surgissements qui s’imposent... Sa propre vie, ce qu’elle offrirait de màªme force, intensité, bousculade ? Vieille question mais certain que sans elle !... Place que à§a prend, oui — un jour tu sauras dire le chemin des arpenteurs.
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