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monologues

monologue 14

Dans ces calmes déserts il promène les siens jusqu՚à  ce que les premiers ces derniers se ferment et que la tàªte là¢chée retourne à sa vieille place. Beckett, Le Dépeupleur

Ces trucs-là , tu les gardes pour toi. Derniers signes, chaque fois ce que tu te dis, soubresauts. Se rassurer, se blinder, si c’Ă©tait la mĂ ÂŞme chose... Ferment les yeux, tous, colmatent les Ă©coutilles. Et viva la vida qu’ils crient, ou hasta la vista, mais à§a aussi c’est peut-Ă ÂŞtre la mĂ ÂŞme chose. Que des mots, rien que des mots. La vie, l’au revoir... TĂ ÂŞte brinquebale, tout ce qui s’y traĂ®ne. Là¢chĂ©e d’oĂą l’image au crà¢ne ? Retourne à§a tant que tu peux, y changer quoi ? A se demander si un jour... Sa force de demeurer... Vieille histoire !... Place qu’elle prend, que tu lui accordes...

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