tu dis : « Il y a des jours où j’ai peur — et du dégoût aussi et de la colère. »
tu dis : « C’est pas le nombre qui me fait peur, mais la haine qui se concentre en chacun. »
tu dis : « C’était si confortable de demeurer spectateur. »
tu dis : « De se prétendre blindé, aussi. »
tu dis : « Et à ceux qui raillent en souriant ce qu’ils appellent ton pessimisme, ou ton prétendu goût du tragique... »
tu dis : « Rien à leur rétorquer — mais se préparer à les abandonner. »
tu dis : « Elles ressembleront à quoi les nouvelles marques de l’infamie ? »
Commentaires
Pas de Message - Forum fermé