c’est le matin, commencer par mettre en marche le client fin de la salle, allumer l’Ă©cran, via web constater absences et retards, et se dire qu’aussi fenĂ ÂȘtre ouverte sur l’extĂ©rieur, mĂ ÂȘme si ne pas l’enjamber, possibilitĂ© qui demeure — Ă©chappatoire, Ă©chappĂ©e belle, c’est seul dans une salle en faire le tour et lire les graffitis sur les tables, se demander ce qu’on apprendrait Ă Â en Ă©tablir une liste exhaustive, c’est remonter un couloir, marche lente Ă©preuve d’une masse humaine compacte
Chantier ouvert aprĂšs lecture du CŐĂ©tait, de Joachim SĂ©nĂ©, paru initialement sur le convoi des glossolales, repris ensuite en versions numĂ©rique et papier chez publie.net, et consacrĂ© au travail dŐun informaticien dans un openspace. Ă â°voquer le boulot de prof, non pas avec le recul de qui lŐa quittĂ©, mais comme un prĂ©sent : cŐest. RĂ©flexions dĂ©sordonnĂ©es, images qui se proposent. DĂ©marrĂ© en septembre 2012, poursuivre jusquŐaux prochaines vacances dŐĂ©tĂ©.
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