c’est rentrer, lire ses mèls, faire un tour de blogs, pas l’énergie pour écrire, besoin d’un sas, d’un temps flottoir, c’est passer d’un texte à un autre, se rendre disponible aux pages qui s’enchaînent, c’est tenter de demeurer réceptif, et aux textes et aux paroles des mà´mes, c’est l’énergie que à§a demande et qu’au delà de cinq heures dans une journée un sentiment de gà¢chis, l’impression de tourner en rond, ou de tomber dans le mécanique, c’est se dire que pas la peine de vouloir expliquer ce genre de trucs, qu’en face c’est forcément sourire quand c’est huit heures qu’on aligne en une journée de travail, c’est dans la discussion se heurter au cliché de la vocation, n’avoir jamais bien compris, comme si là -dedans pas de place pour le hasard ou la nécessité, y compris matérielle, et l’orientation à la va comme je te pousse, et la part de ràªve de ceux qui se retrouvent dans une fac de lettres, Rimbaud en herbe demi en main, convaincus qu’ils vont y apprendre à écrire, y entrer en littérature, en sortent fonctionnaires, c’est faire la grimace à se retrouver dans màªme lot que curés et bonnes sœurs, parce qu’associer leurs vocations au renoncement d’àªtre au monde, et solitudes rancies
c’est 1 / 2 / 3
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