du talon qui s՚abat sentir monter le cri, poussée lente mais tu la sais inévitable, ne rien anticiper : ce serait abandonner – du moins ce que tu crois – ne rien prévoir, mais une fois qu՚hors appréhender ton cri
pas tant par goà  »t de la table rase mais débusquer ce qui là  se niche, surgit quand l՚énergie déployée et que dans tes bras et jusquÕšaux pognes, flux sans nom qui remonté du dedans
quÕšimporte dÕšen nommer la source ou la peur de la voir se tarir, seulement impossible de te taire : ce serait trahir ce qui de langue en lutte et brisé là Â
Commentaires
Pas de Message - Forum fermé