bienvenue dans l’atelier
dans la lignée de Brainard et Perec
une version compilée et corrigée de la série "je me souviens" (Lire la suite )
je me souviens de l’expression avoir le cul bordé de nouilles — je n’aimais pas cette expression | de Nobiron le coiffeur — des sièges verts avec un rehausseur — mes jambes ballant au-dessus du repose-pied — bien dégagé au-dessus des oreilles selon le vœu de mon père | de la vitrine du coutelier jouxtant le salon de coiffure — là (...) (Lire la suite )
je me souviens de mon arrivée au collège d’Artenay, ma première affectation : le principal m’a demandé si j’avais peur des élèves ou si c’étaient eux qui avaient peur | de ce parent d’élèves qui m’a dit on est un con qui n’ose pas dire son nom | je me souviens, au café de l’Agriculture, de la grenade ramenée d’Algérie (...) (Lire la suite )
Je me souviens de la première fête de la musique. (Lire la suite )
Je me souviens des mots brodequins et godillots. (Lire la suite )
Je me souviens avoir cherché le I remember de Joe Brainard chez Barnes et Noble à New-York mais ils ne l’avaient plus. (Lire la suite )
page précédente | page suivante