Sous la rubrique « choses qui perdent à  à ªtre peintes  », à  cà ´té des fleurs de cerisier ou de kerrie, en l’an mil, à  Kyà ´to, dans le palais de l’impératrice, Sei Shà ´nagon note :
« Le visage des hommes ou des femmes dont on vante la beauté dans les romans sans qu’on les voie jamais.  »
Gustave Flaubert évoque dans une lettre à  Charpentier la beauté fascinante des héros de roman parce qu’ils n’ont pas de visage.
Ce n’est pas qu’on ne les voit pas. C’est qu’on les « voit sans les voir  ».
Pascal Quignard, Petits traités, « Lectio  ».
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