bienvenue dans l’atelier
matin... nuit sÕšenfoncer en matière... lignes blanches nuit ne rien laisser derrière... continuelle page quÕšon tourne... abandon autant que fuite... nuit seul au monde... nuits d՚été quand tu bossais à  la station... cette attente du matin... et ce dégoà  »t dÕšaller dormir... mais trop de fatigue... renoncer au jour qui démarre... monde qui (...) (Lire la suite…)
sans la toile... personne tÕšavait obligé... rempli tout seul profil Facebook... là  aussi à §a grouillait de passé... photos de classes que tÕšavait envoyées Nico... tronches du lycée... puis celles de soirées du temps de la fac... comme la boîte en carton où les photos de famille... tout un tas de boîtes déversées pà ªle-mà ªle... peut-à (...) (Lire la suite…)
tragiques rock... chanson de Birkin à  la radio... ex fan des sixties... dÕšautres noms sur la liste... sÕšajoutaient comme si d՚évidence... Bon Scott... Cobain... à  chacun ses litanies... vivre vite mourir jeune... too young to die too old for rockÕšnÕšroll... cette obsession de l՚à ¢ge... 76 que sonné le glas des dinosaures... cette faà §on (...) (Lire la suite…)
quitter à §a... ce trop dÕšancrage... cette image fixe... une échappée... les laisser là  -bas... toujours à  faire dans une maison... toujours à  fuir... quÕšils sÕšoccupent... ton père à  bricoler... ta mère à  tenir propre... filer à  la plage... le soulagement que c՚était... les laisser là  ... leur éternel recommencement... et tout (...) (Lire la suite…)
arrachées les haies du bocage... ce que Gracq en écrivait... pays déclos... simple illusion dÕšoptique... ce particularisme cultivé... vite retrouvé sous ripolin néo-libéral... une terre d՚énergie... ce collègue qui te plaisantait... sa route des vacances... slogan au bas du panneau dÕšentrée de ville... et ce mythe de lÕšusine à  la (...) (Lire la suite…)
tu la voyais nettement plus haute leur colonne... granit bouffé de lichens... toujours là  les mots sur la plaque... bataille de Torfou... 19 septembre 1793... ce passé qui suinte... ce nÕšest pas venir sÕšy cogner... enveloppe... étouffe... tous ces signes autour... place Travot... rue Marceau... avenue Kléber... et cÕšest tardivement que tu les (...) (Lire la suite…)
passer bientà ´t le carrefour de la colonne... dos d՚à ¢ne de la voie ferrée... ton père ralentissait avant... en profitait pour attacher sa ceinture... souvent les flics dans le coin... stationnaient devant lÕšancien relais de poste... à  gauche lÕšancienne voie romaine... chemin balisé pour randonneurs... ces deux motards qui venaient de (...) (Lire la suite…)
rouler le matin... lumière de l՚été... gamin le plaisir que c՚était... jamais lÕšhiver... ta mère... pour y faire quoi ?... de Pà ¢ques à  fin septembre... partir le samedi... rentrer le dimanche soir... au milieu de la banquette arrière... assis entre tes deux frangins... culottes courtes... chaleur du skaà ¯ chauffé au soleil... sueur sur (...) (Lire la suite…)
à ‰crire en ligne un récit intitulé entre deux, pas au jour le jour comme pratiqué auparavant sous la forme du feuilleton, mais s’astreindre cependant à  régularité. Pourquoi ? Afin de maintenir une continuité dans l’écriture. De prendre le temps de suffisamment travailler le texte avant de le publier (ben oui, le rendre public (...) (Lire la suite…)
tourné vinaigre vite fait bien fait... leur besoin dÕšy croire... à  ce quÕšon leur raconte... aux mots quÕšon leur assène... bouches en chÅ“ur à  tÕšengluer de valeurs... démocratie... et joie de la fin des dictateurs... tÕšavaient mà ªme asséné le mur de Berlin... ce bonheur de la chute... avais eu droit à  tout leur répertoire... Bouvard et (...) (Lire la suite…)
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