bienvenue dans l’atelier
les #instantanés seront comme des prises de vue, photos ou vidéos volées, des instants creusets où travailler le multiple des perceptions, où travailler la linéarité de l’écrit, un moyen de maintenir l’écriture dans le temps du quotidien, des fragments
constater, en rangeant mes paquets de graines, qu’un bon nombre ont dépassé leur date de péremption, avoir du mal à  les jeter, parce que le sentiment de tenir entre ses mains de la vie qui ne demande qu’à  , s’en vouloir d’une réaction aussi idiote, puisque savoir depuis longtemps que les graines périmées ne poussent[...]
Un si long temps passé à  infuser. Et pourtant je sortirai d’ici pétri de silence.
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Ces vêtements dans lesquels je flotte. Ils ont cru bien faire. Ils n՚auraient pas supporté me laisser nu. Masque dérisoire de mon corps en travail.
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Quand ça s’arrêtera ? Si jamais ça s’arrête. L’armature encore si peu visible. Quelques trouées. Et même alors.
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Je n’ai pas de désir de découvrir des zones d’ombre de ma vie, ni de me souvenir de tout ce qui m’est arrivé, et mon passé, en soi, ne m’intéresse pas spécialement. Je me considère très peu comme un à ªtre unique, au sens d’absolument singulier, mais comme une somme d’expériences, de déterminations aussi,[...]
Envies de livres revenues. Ces listes : lesquels vous emmèneriez sur une île déserte ? Pour ici, personne ne pose la question. Et pourtant.
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Les Carnets du lotissement refont surface grà ¢ce à  Joachim Séné qui les héberge sur Relire. Un gars formidable : il a suffi de retrouver dans un coin de disque dur les fichiers dont il avait besoin et de les lui envoyer. Et en deux temps trois mouvements le site était de nouveau accessible. à ‰tonnant de retrouver des textes en grande partie[...]
Visite hier de ma mère. Comme pour chaque anniversaire. Avec son gros bouquet, son mouchoir et ses gants. Elle sait pourtant que ses larmes ne me feront pas revenir.
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