La caractéristique de l’à¢ge ridicule que je traversais — à¢ge nullement ingrat, très fécond — est qu’on n’y consulte pas l’intelligence et que les moindres attributs des àªtres semblent faire partie indivisible de leur personnalité. Tout entouré de monstres et de dieux, on ne connaît guère le calme. Il n’y a presque pas un des gestes qu’on a faits alors qu’on ne voudrait plus tard pouvoir abolir. Mais ce qu’on devrait regretter au contraire c’est de ne plus posséder la spontanéité qui nous les faisait (...)
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le seul temps où l’on ait appris quelque chose
19 novembre 2011, par M.B. -
une part de soi
18 novembre 2011, par M.B.c’est d’une chambre qu’il faut démarrer, de l’espace clos où se retirer mais aussi se construire : cabinet de lecture, cabinet d’écoute, lieu de retrait (désormais c’est le bureau qui permet le seul) d’un mercredi matin, temps de latence parce que seulement l’après-midi qu’à vélo ou 102 Peugeot rejoindre les copains, et écouter des 33 tours pendant des heures, dans d’autres chambres en deux heures de radio qu’a déboulé une espèce d’histoire du blues par deux gars de la station locale de radio France tout un (...)
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children of the revolution...
14 novembre 2011, par M.B.I drive a Roll’s Royce
Coz’ it’s good for my voice
But you won’t fool the children of the revolution
Marc Bolan, Children of the revolution -
monosyllabes
11 novembre 2011, par M.B. -
tu n’habitais pas la ville 13/13
9 novembre 2011, par M.B.la ville te traversait et tu n’en savais rien
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tu n’habitais pas la ville 12/13
9 novembre 2011, par M.B.Agrandir le plan
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tu n’habitais pas la ville 11/13
9 novembre 2011, par M.B.dans tes carnets tu gardais traces
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tu n’habitais pas la ville 10/13
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tu n’habitais pas la ville 09/13
9 novembre 2011, par M.B.aux comptoirs attestais du roman vrai
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tu n’habitais pas la ville 8/13
9 novembre 2011, par M.B.Agrandir le plan