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tu dis

tu dis (5)


tu dis : « J’ai appris à aimer la fatigue : sans elle, jamais rien su de l’étoilement des jours, que ça reste possible... »
tu dis : « Via la fatigue aussi, la fragmentation des êtres et des jours. »
tu dis : « En faire quoi de la matière autour des fragments ?... du remplissage, rien que de la bourre pour donner l’illusion du volume... »
tu dis : « Par autre chose que ça tient ensemble, et ça, avant de l’avoir clair dans ta tête... »
tu dis : « Cette manie du bout, aller jusqu’au ou aboutir, quand c’est rabouter qu’il faudrait, essayer du moins. »

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