Michel Brosseau | à chat perché
bienvenue dans l’atelier
Balzac
Articles
Splendeurs et misères courtisanes
où converge tant de la comédie humaine
Honorine
un diplomate, un conte, des fleurs fanées, bleues ou artificielles, du récit emboîté, une femme à reconquérir, une maison, un jardin, un mur mitoyen
La Vieille Fille
Alençon, une grisette, deux vieux garçons, une vieille fille, un domestique breton, un jeune homme pauvre, un vicomte, un suicide
Une ténébreuse affaire
Où l’obsession de la physionomie :
Les lois de la physionomie sont exactes, non seulement dans leur application au caractère, mais encore relativement à la fatalité de l’existence. Il y a des physionomies prophétiques. S’il était possible, et cette statistique vivante importe à la Société, d’avoir un dessin exact de ceux qui périssent sur l’échafaud,[...]
Les comédiens sans le savoir
un cousin de province à Paris
Le Lys dans la vallée
un enfant sans amour, une vallée, madame de Mortsauf, un air de Plutarque
L’illustre Gaudissart
un commis voyageur, l’appétit de l’argent, des journaux, Jenny Courand, Vouvray, un fou, du vin
Pierre Grassou
Elie Magus, un peintre raté, des plagiats
Ursule Mirouet
Nemours, un maître de poste, un vieillard, une gamine orpheline, une fortune faite à Paris, un retour en province, un héritage, un notaire, des discussions sur les revenants, beaucoup de magnétisme, des ràªves, une série de chiffres
Mémoires de deux jeunes mariées
roman épistolaire, une brune, une blonde, deux destinées, un Provenà§al rentré de Russie, un Maure déchu, l’éloge de la famille
